BSA-AIR : le bridge de financement rapide pour start-up à Toulouse

Pourquoi faire appel à une avocate à Toulouse pour émettre des BSA-AIR ?

Le BSA-AIR (Bon de Souscription d’Actions – Accord d’Investissement Rapide) offre un financement relais avant la levée de fonds principale : cash immédiat, valorisation capée, conversion automatique en actions. Mal rédigé, il entraîne dilution imprévue, conflits avec futurs investisseurs ou incertitude fiscale.
Maître Marion Albenque, avocate en Private Equity à Toulouse, sécurise l’émission : term-sheet bridge, contrat BSA-AIR, pacte « bridge » et formalités greffe.

avocat BSA AIR

Comment votre avocate structure un BSA-AIR (accord d'investissement rapide) sécurisé ?

Analyse du besoin et du bridge

Montant recherché, cash-burn, valorisation cap et discount, horizon de la série A, profils des investisseurs (business angels, fonds seed).

Rédaction du contrat BSA-AIR

  • Valorisation cap / discount : plafond et taux de conversion

Comprendre la levée de fonds classique.

  • Trigger events : série A minimale, change of control, IPO

  • Maturité & intérêt : intérêts capitalisés ou non

  • Clause de remboursement : scénario « no next round »

  • Warranties & confidentiality : contrat de confidentialité (NDA) annexé, absence de dettes cachées

Sécuriser vos informations confidentielles.

Pacte bridge & gouvernance transitoire

Droits d’information post-investissement, clause d’agrément pour la série A, absence de veto bloquant futur tour.

Formalités & fiscalité

AGE, émission des BSA, dépôt au greffe de Toulouse, inscription registre mouvements de titres, traitement fiscal des plus-values.

Les bénéfices d’un BSA-AIR rédigé par votre avocate à Toulouse

Cash rapide, dilution maîtrisée : cap clair, conversion automatique.
Sécurité juridique : triggers précis, scénario « no round » anticipé.

Compatibilité série A : document bridge accepté par VC et fonds régionaux.

FAQ – BSA-AIR

Quelle différence entre BSA-AIR et SAFE ?

Le BSA-AIR est adapté au droit français ; il émet un bon de souscription, alors que le SAFE est un contrat anglo-saxon assimilé à une obligation convertible.

Non : il s’agit d’un bon de souscription, pas d’un apport en nature.

À la clôture d’une levée de fonds supérieure au montant seuil défini (par ex. 1 M€) ou à l’échéance maximale (18 mois).

Non, la fiscalité s’applique lors de la cession des actions reçues ; l’avocate anticipe le régime de plus-value.